samedi 14 janvier 2012

Un pays uni, rien ne lui résiste !

Il s'agit du slogan de campagne de François Bayrou, un slogan sous la forme d'un message fort adressé aux français, Un message qui transpire d'espoir et d'ambition pour notre pays, qui appelle à l'union sacrée pour affronter les défis qui se présentent à nous, les relever, pour tous ensemble redresser la France.
Rien ne saurait pouvoir se faire sans l'union de toutes nos forces vives, compétences et énergies qui sommeillent en chacun.
Le temps est venu de cette union, par delà les clivages : la crise, économique et sociale, ces conséquences inéluctables liées à la problématique de la Dette, une question sur laquelle François Bayrou, raillé à l'époque, avait exprimé nombre d'inquiétudes, qui aujourd'hui sont traduites concrètement.
La précarité se développe, avec des conditions de vie qui se dégradent, les classes moyennes, sur lesquelles tout repose sont étranglées, avec en point d'orgue, la dégradation, plus que symbolique, de la note de la dette souveraine de la France. Un abaissement qui met en exergue les insuffisances, inconséquences et le laxisme de nos gouvernants successifs qui n'ont pas su faire montre ni de la rigueur, ni du courage nécessaire à l'égard de cette question de la Dette. "Gouverner, c'est prévoir". Dès 2007, Bayrou nous avait prévenu...


C'est un contrat de vérité que propose le Président du MoDem, pour lequel il faudra l'émergence d'une majorité de courage qui aura à relever les défis du futur, dans un souci de responsabilité et d'équité.

Du courage, une vertu dont il sera assurément besoin à l'aube de 2012 pour un pays consommateur que l'on a trop habitué à vivre au dessus de ses moyens, à crédit, ni plus ni moins, et qui a oublié la nécessité qu'il y a à produire des richesses pour subvenir à ses besoins. D'où cet impératif clairement exprimé par le béarnais, et repris à leur compte par d'autres candidats à l'Elysée, particulièrement François Hollande, qui semble prisonnier, dans le contexte actuel d'un programme riche en promesses sociales intenables. Que nul ne s'y trompe.
Il n'est pas à céder aux sirènes du fatalisme. Notre pays s'en sortira pourvu qu'il négocie raisonnablement le virage qu'il emprunte.

Une approche résolument positiviste qui est à rapprocher de notre réalité locale. Stop au fatalisme et à l'inertie. Le Sud Creusois peut se construire un avenir, pourvu qu'il soit courageux -et il ne manque pas de courage- et uni. Si Renée Nicoux, sénateur-maire de Felletin, reconnaît justement que notre territoire n'est pas assez représenté à Guéret, elle confirme ce que les candidats du Mouvement Démocrate de la Creuse avaient exprimé lors des dernières cantonales, à savoir, qu'il y a bien une Creuse à deux vitesses, tout en exprimant une forme de fatalisme "On n'y peut rien".
C'est oublier un peu vite que cette Creuse duale est née des désunions, et du désamour, de l'incapacité à s'entendre, à fédérer les énergies, et à construire une cohésion dans l'intérêt du territoire et de ses habitants. Nos faiblesses, structurelles, dès lors économiques, notre fragilité, exprimée récemment autour des menaces qui pèsent sur le LMB de Felletin, contre lesquelles Mme Nicoux a raison de s'élever, tout cela provient de ces divisions, pas du hasard, ni de l'opération du Saint Esprit.

Pas de fatalisme, trop simpliste, mais de la Raison et du Courage ! L'union fait la Force, et les creusois, déterminés, ont prouvé pour peu qu'ils soient unis pouvoir renverser des montagnes, comme dans le cadre de la réouverture du Centre de Radiothérapie de Guéret. L'ambition doit se trouver dans l'union de toutes nos forces.
Ce sera là, la mission du prochain député de la Creuse : Rassembler. Pour une Creuse Unie et Solidaire !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire